La prise de conscience de la discrimination vécue par les femmes dans l’Église a entraîné, dans les vingt dernières années, un certain nombre de publications qui ont permis de faire ressortir la pauvreté et la violence qu’avaient à vivre certaines femmes à l’intérieur de l’institution ecclésiale. Qu’on pense à Les soutanes roses (Bélanger, 1988), Femmes et pouvoir dans l’Église (Caron, 1991), Voix de femmes, Voies de passage (Baroni, Bergeron, Daviau et Laguë, 1995), Les ouvrières de l’Église (Roy,1996). En dépit de certains efforts de redressement réalisés au cours de cette période, des pratiques discriminatoires à l’égard des femmes engagées en Église existent toujours à l’aube de ce troisième millénaire; c’est ce que cette étude révèle.
La méthode utilisée dans cette recherche a comporté deux volets. Le premier a consisté en une cueillette de données dans différents volumes, articles de revues et documents sur les politiques de travail et les échelles de salaire provenant de cinq diocèses différents; le second a été constitué d’entrevues réalisées avec cinq intervenantes dans le champ de la pastorale provenant de cinq diocèses différents. Voici le résultat de ces observations.
LA PAUVRETÉ :
Dans certains diocèses, les conditions de travail ont fait des pas de géants. Par contre, dans certains autres, il reste de nombreuses marches à gravir avant d’obtenir des conditions de travail inspirées des principes de justice sociale de l’Église.
Certains diocèses offrent des salaires décents qui tiennent compte de la scolarité, de l’expérience et des responsabilités impliquées, mais ce n’est pas le cas dans tous les diocèses. Certains offrent une rémunération à toute personne mandatée pour son travail pastoral mais, là non plus, ce n’est pas le cas dans tous les diocèses.
− Dans certains diocèses, les salaires des agentes de pastorale sont nettement insuffisants quand ils ne sont pas tout simplement inexistants. Exemple : Une mère dont le seul revenu est celui d’agente de pastorale scolaire doit passer les journaux avant de commencer sa journée de travail pour joindre les deux bouts. Exemple : Des agentes de pastorale en chômage l’été ne réussissant pas à arriver avec leur mince revenu-du chômage; on doit créer un fond de solidarité pour les aider.− Les salaires ne tiennent souvent pas compte de la scolarité. Certaines diplômées ne reçoivent aucune rémunération pour une partie ou la totalité de leur engagement professionnel bien qu’elles assument souvent de grandes responsabilités. On leur demande parfois une ou deux journées de bénévolat pour une journée de travail rémunéré.− Les échelles salariales élaborées au niveau diocésain sont souvent mal connues et mal appliquées. Personne ne se charge de vérifier et d’encourager leur application dans les paroisses. L’agente de pastorale les ignore parfois ou, si elle les connaît, a peu de recours si elle veut qu’elles soient appliquées sans que ça ait de rebondissements sur son emploi. Plusieurs ont l’impression de quêter pour obtenir ce à quoi elles ont droit.− Souvent, on ne tient pas compte du niveau d’étude de l’agente de pastorale pour établir son salaire; certaines ont un certificat de niveau collégial, d’autres une maîtrise universitaire.− Dans des paroisses ou des diocèses différents, les salaires peuvent varier, pour un même travail, de 16 900$ à 27 000$ pour une agente de pastorale paroissiale et de 16 000$ à 23 000$ pour celle qui est chargée de pastorale scolaire au primaire. Dans un des diocèses, une femme qui a une responsabilité au niveau diocésain peut gagner jusqu’à 39 000$. Ailleurs, par contre le maximum est de 27 000$. Il demeure toutefois difficile de comparer les salaires parce que les responsabilités, du moins au niveau diocésain, sont très variables.− Il y a souvent un important écart salarial entre les employées diocésaines ordinairement mieux rémunérées et les employées en milieu paroissial ou scolaire.
2. La sécurité d’emploi
Dans des diocèses qui ont des politiques et un contrat de travail clair, la sécurité d’emploi existe après quelques années de travail, Dans d’autres diocèses, c’est toutefois différent.
3. L’assurance – maladie
Des diocèses ont des plans d’assurance-maladie intéressants, applicables à celles qui oeuvrent en pastorale diocésaine, paroissiale ou scolaire mais ces avantages ne sont pas généralisés à tous les diocèses.
4. Les avantages sociaux
Les milieux diocésains offrent assez souvent maintenant des fonds de pension et ça s’étend parfois aux milieux paroissiaux et scolaires mais cet avantage n’est pas généralisé.
5. La protection syndicale
La syndicalisation n’a pas franchi le mur de l’institution ecclésiale sauf dans un diocèse où on retrouve un syndicat chez les employés diocésains. Un diocèse a par contre un comité de relations de travail avec des procédures bien claires dans les cas de griefs ce qui facilite les relations de travail.
6. Les horaires de travail
Plusieurs milieux ont maintenant un contrat de travail où les horaires sont précisés mais le travail espéré par l’employeur est souvent supérieur à celui inscrit dans les contrats.
7. Les congés de perfectionnement
Les différents diocèses prévoient des jours de perfectionnement tant pour le milieu scolaire que pour le milieu paroissial. Leur nombre varie d’un diocèse à l’autre. Les agents de pastorale en paroisse ont généralement droit à du ressourcement spirituel, de trois à cinq jours par année; la paroisse défraie habituellement la moitié des frais encourus. C’est un des secteurs du travail pastoral où il y a eu des progrès notables.
8. Les congés de maternité
Les congés de maternité sont généralement ceux prévus par les normes du travail : des congés sans solde avec une rémunération de l’assurance-emploi.
9. Les vacances
Celles qui ont un contrat de travail ont en général des vacances allant de trois à cinq semaines mais celles qui n’en ont pas ont des conditions très variables.
10. Les postes
Dans certains diocèses, les postes sont clairement affichés et les personnes concernées sont au courant de leur accessibilité. Toutefois, la politique d’affichage de postes n’est pas généralisée même dans des diocèses plus avancés au niveau des conditions de travail.
− Un diocèse consulté offre un premier mandat pastoral de 2 ans, puis par la suite, des mandats de trois ans qui normalement sont renouvelés; mais plusieurs postes sont renouvelables aux ans à cause des mandats pastoraux.− L’embauche de nouvelles personnes se fait le plus souvent dans le rayon de relations des clercs et le recrutement s’effectue le plus souvent par sollicitation directe.− On recherche souvent des employées compétentes mais à bas salaire; d’où, à certains moments, l’embauche de religieuses pour atteindre cet objectif.− On essaie encore souvent d’aller chercher du bénévolat en pastorale au lieu d’ouvrir des postes d’agents ou d’agentes de pastorale.− Les exigences d’embauche d’agents et d’agentes de pastorale sont élevées en dépit de faibles conditions de travail dans plusieurs cas. Un certain nombre de diocèses demandent un baccalauréat en théologie pour travailler en pastorale et, dans ce cas, le salaire n’est pas nécessairement proportionnel à cette exigence de formation.− Les possibilités de changement de fonction sont rares dans plusieurs diocèses ou en milieu scolaire, ce qui peut entraîner un danger de sclérose dans une fonction.
− Il est difficile de comparer les postes d’un diocèse à l’autre puisque les mêmes fonctions n’ont souvent pas les mêmes titres.
− On peut noter que plus les conditions de travail d’un diocèse ont été travaillées, plus il existe une politique d’affichage de poste.
LA VIOLENCE :
À première vue, la violence ne semble pas présente dans l’institution ecclésiale. Comme dans la société en général, il faut apprendre à y déceler des indices de violence lesquels ne sont pas toujours évidents.
Car la violence entendue comme un « abus de pouvoir d’une personne ou d’une institution à l’égard d’une autre » (Paquette, 1998, 27) existe envers les femmes dans l’Église. Cette violence s’exprime par la domination de l’homme sur la femme à l’intérieur d’un système, le système ecclésial patriarcal (violence systémique) et elle se manifeste aussi dans la réalité concrète du milieu de travail ecclésial.
1 – LA VIOLENCE SYSTÉMIQUE
Cette forme de violence est celle qui est générée par un système où l’une des parties en cause domine et contrôle nécessairement l’autre. Dans l’Église, elle se retrouve dans le discours religieux comme dans les structures et l’organisation institutionnelle.
A. Le discours religieux
Le discours religieux s’est tout de même amélioré depuis quelques années mais une longue route reste à parcourir pour qu’on retrouve un discours réellement représentatif des hommes et des femmes en Église.
− Il y a peu d’utilisation dans les documents venant de Rome, des quelques images féminines de Dieu dans la Bible.
− L’histoire de l’Église se base sur des récits d’inspiration patriarcale : Les récits de la création ont longtemps véhiculé l’idée de l’inégalité de l’homme et de la femme dans la société. La femme y est souvent présentée comme fille d’Ève et tentatrice, on doit donc s’en méfier.
− Dans la théologie traditionnelle, la femme peut seulement être présentée comme image de Dieu et non comme image du Christ parce que, dit-on, le Christ était un homme, d’où l’argumentation utilisée pour rejeter l’idée de l’ordination des femmes.
2) « Le discours liturgique » :Malgré certains efforts réalisés dans les dernières années pour féminiser un tant soit peu le discours liturgique dans l’Église, le langage y est demeuré plutôt exclusif dans les textes officiels et dans de nombreuses célébrations.
Le discours moral avait évolué avec Vatican Il mais les dernières années ont vu apparaître un certain nombre de discours centrés davantage sur la loi et l’ordre que sur l’amour. Le discours législatif a progressé depuis la parution du dernier Code de droit canonique. Celui-ci présente toutefois, dans certains textes, un discours misogyne.
Dans l’Église du Québec et des communautés environnantes, bon nombre de pasteurs adoptent un discours davantage pastoral lorsqu’il est question de problèmes moraux mais ce n’est pas généralisé.
B. La violence des structures et de l’organisation institutionnelle
L’Église a une structure et une organisation d’inspiration patriarcale qui peuvent être qualifiées de violentes puisqu’elles encouragent le contrôle d’une partie par une autre.
− Il s’agit d’un modèle de relation dominant-dominé, terrain favorable à une forme de violence. Exemple : Une intervenante auprès d’agentes de pastorale dira : « La structure, c’est pire dans l’Église. Le fait qu’a priori le prêtre a raison et que la personne subit ce qui se passe me fait penser au concept d’infaillibilité qui serait appliqué jusqu’au bas de l’échelle : c’est une forme de violence… Comment mettre ça avec l’Évangile ? »
1) « Origine de cette violence »Il s’agit d’un sexisme séculaire véhiculé par les Pères de l’Église et un grand nombre de théologiens. L’Église a longtemps contribué à l’infériorisation des femmes (Conseil du Statut de la femme, 1993- 27); et nous ne sommes pas complètement sortis de cette noirceur.
2) « Causes de cette violence »− Un rapport inégal de pouvoir à l’avantage d’une des parties est une des causes de la violence. Et plus cette inégalité est grande plus le potentiel de violence est élevé. (Conseil du Statut de la femme, 1993, 27). Nous avons dans l’Église les ingrédients de base pour que se vive la violence.− La violence contre les femmes, comme la violence raciale ou religieuse, est rendue possible par la conviction que « l’autre », la femme, le noir, le juif, vaut moins que soi, est moins intelligent, moins beau, moins utile à la société, moins proche de Dieu. (Conseil du Statut de la femme, 1993, 27) Et dans l’Église, une telle réalité est implicitement présente dans un certain nombre de situations.− Les structures de décision accessibles uniquement aux hommes sont porteuses de violence de par leur fonctionnement même, il s’ensuit qu’on y apporte de façon moins urgente, par exemple, des problèmes portés par des femmes. Un tel fonctionnement est installé depuis longtemps dans l’Église.
2 – LA VIOLENCE DANS LE MILIEU DE TRAVAIL
La violence du système ecclésial se traduit concrètement dans le milieu de travail. Elle s’exprime par le pouvoir, la violence verbale, la violence psychologique et certaines formes de violence plus subtile.
A. Le pouvoir
Exemples :
-Un curé refuse qu’une responsable de chorale « bénévole » se fasse remplacer par une autre personne compétente pour une fin de semaine.
-De nouveaux curés ne tiennent pas compte des acquis de la paroisse et cherche à tout contrôler même la distribution des feuillets paroissiaux.
-On passe parfois par-dessus une personne pour prendre une décision un peu comme des parents peuvent parfois le faire quand il s’agit d’un enfant.
-Un curé décide qu’un adolescent ne sera pas confirmé parce qu’il lui a tenu tête; il ne prend aucunement en considération l’opinion de la catéchète qui a un avis contraire.
-Certains curés acceptent mal les initiatives d’agents ou d’agentes de pastorale qui souhaitent amorcer certains changements pour intéresser davantage de gens. On les décourage en leur disant que tout a déjà été essayé.
− Les pouvoirs décisionnels sur les orientations, les choix prioritaires et aussi la responsabilité finale des gestes posés sont refusés aux femmes; c’est une injustice, un mépris, une offense aux droits de la personne. (Chénier, 1997, 24)
− En général, les tâches qu’assument les femmes à l’emploi de l’Église ne leur donnent pas de pouvoir de transformation au plan institutionnel. Elles les habilitent davantage à informer et à conseiller (Roy, 1996, 359). Exemple : la répondante diocésaine à la condition féminine assure l’entrée d’informations pertinentes concernant la question des femmes sans pouvoir générer de transformations substantielles.
B. Les conditions de travail
Les conditions de travail ont évolué partout depuis 20 ans mais elle vont des pas de tortues aux pas de géants.
C. La violence verbale
La violence verbale n’est pas monnaie courante dans l’Église. Un certain nombre de situations rapportées invitent tout de même à la vigilance.
D. La violence psychologique
Cette forme de violence existe dans l’Église. Il ne faut toutefois pas généraliser ses manifestations.
La violence psychologique se traduit par différentes attitudes (Lépine, 1995, 52) :
– mépris concernant la compétence des femmes. Exemple : Des agentes de pastorale paroissiale ou scolaire appréciées par la communauté préparent une célébration bien adaptée et le prêtre la refuse sans tenir compte de la pertinence de la célébration et du travail effectué avec coeur;− mépris concernant la scolarité des femmes. Exemple : Le fait que des femmes soient parfois plus instruites en théologie suscite un malaise chez leur curé qui ne tient pas compte de leur compétence;− maintien dans des tâches de service souvent bénévoles ou fort mai payées; manque de respect, « dévalorisation »;− congédiement du personnel compétent dans des situations de conflits ou de tensions;− silence sur les causes du départ d’une employée. Exemple : Un conseil de marguilliers congédie une ménagère qui se retrouve ainsi sans le sou et dans la rue… La femme semble avoir de graves problèmes-. enfermée dans sa chambre, elle menace d’attaquer avec un long couteau de cuisine quiconque voudrait l’approcher. Elle ne résiste toutefois pas lorsque la responsable de la région frappe à la porte de sa chambre; elle lui tombe plutôt dans les bras en pleurs, lui raconte que son fils, un jeune bien bâti, a été approché par le dit curé pour des contacts sexuels. Elle ne veut pas témoigner contre le curé…;− inertie pour changer les situations paralysantes qui perpétuent les inégalités;
− étouffement des revendications.
E. Une violence subtile
Il existe, dans certaines situations, une forme de violence sournoise mais tout de même évidente.
-crainte de perdre son emploi;
-crainte de ne pas être à la hauteur de ce qui lui est demandé;
-crainte de ne jamais pouvoir répondre aux attentes, de perdre son emploi;
-sentiment de devoir faire preuve d’une patience sans borne, de devoir être meilleure que les autres.− Elle se manifeste aussi dans les types de tâches confiées :
Ces tâches sont souvent essentielles mais subalternes. (Lafortune, 1991 : 165)− Dans l’Église, les femmes pratiquent entre autres beaucoup le « caring », fonction de support très importante mais officiellement inexistante. (Lafortune, 1991 : 166)− La violence s’exprime également dans différentes attitudes, autoritarisme, paternalisme, absence de collaboration, refus de travailler en équipe, pressions verbales ou psychologiques…− La violence s’exprime aussi par le manque de reconnaissance qu’on accorde aux femmes dans l’Église bien qu’elles y soient présentes et engagées en grand nombre :
-le prêtre a plus de visibilité qu’un agent ou une agente de pastorale;
-les femmes ont de l’influence, mais n’ont aucun pouvoir délégué;
-le champ d’action des femmes est restreint à des secteurs délimités;
-le leadership des femmes n’est pas reconnu;
-seuls les hommes dans l’Église ont du pouvoir, des droits réels et des fonctions ministérielles;
-la fonction d’agente de pastorale ne possède pas de statut social reconnu, elle ne fait même
pas partie des statistiques officielles du pays.
Quelques faits relatés par des personnes impliquées en pastorale
Bref, pour enrayer le problème social de la violence, il faudrait « une transformation en profondeur de l’ordre établi et des institutions sociales afin de développer de nouveaux rapports entre les femmes et les hommes. À problème social, solution sociale ». (Boudreau, 1995 , 15)
Ce survol des 20 dernières années nous a permis de voir des pas réalisés pour contrer les pratiques discriminatoires vécues par des femmes engagées en Église mais il en reste à faire… Malheureusement, la pauvreté et la violence ont encore, à bien des endroits, pignon sur rue.
Il serait donc important que l’Église applique avec plus d’énergie dans ses structures et son fonctionnement le message de justice, de partage, de communion, d’égalité qu’elle porte partout dans le monde. Elle deviendrait ainsi beaucoup plus crédible aux yeux de nombreuses femmes blessées par des pratiques discriminatoires.
Pauline Jacob, 1998
RÉFÉRENCES
BELANGER, Sarah (1988). Les soutanes roses. Montréal : Bellarmin.
BARONI, Lise, BERGERON, Yvonne, DAVIAU, Pierrette & LAGUË, Micheline (1995). Voix de femmes, Voies de passage. Montréal : Éditions Paulines.
BOUDREAU, Chantale (1995). Un grain de sable dans l’engrenage. Dans DANEAU, Michèle & al., Ensemble briser l’engrenage!, Actes du colloque Violence en héritage?, Cap-de-la-Madeleine (p. 14 23). Montréal : L’Assemblée des évêques du Québec.
CARON, Anita (Dir.), (1991). Femmes et pouvoir dans l’Église. Montréal : Éditions VLB.
CHENIER, Hélène (1997). La place des femmes dans l’Église. Le trait d’union, 10, 22-27
COMITE DES AFFAIRES SOCIALES DE L’ASSEMBLEE DES ÉVEQUES DU QUEBEC (1989). Violence en héritage? – Réflexion pastorale sur la violence conjugale. Montréal : L’Assemblée des évêques du Québec.
CONSEIL DU STATUT DE LA FEMME, GOUVERNEMENT DU QUEBEC (1993). Pour que cesse l’inévitable.
DANEAU, Michèle, DIONNE, Rita, FAFARD, Yvon, FRADETTE, Daniel, GAUMOND, Line, GODIN, Marie-Paule, HOULE, Lorraine & LAROSE, Anne-Marie (1995). Ensemble briser l’engrenage!, Actes du colloque Violence en héritage?, Cap-de-la-Madeleine. Montréal : L’Assemblée des évêques du Québec.
LAFORTUNE, Agathe (1991). Rapports sociaux des sexes et marginalisation des femmes dans l’Église. Dans CARON, Anita (Dir.), Femmes et pouvoir dans l’Église (p. 161-180). Montréal : Éditions VLB.
LEPINE, Lucie (1995). L’héritage religieux de la violence. Relations, 608, 49, 52.
LEPINE, Lucie (1995). La violence de nos institutions religieuses. Relations, 608, 52.
PAQUETTE, Pierre (1998). Apprendre à mieux vivre ensemble. Montréal : Éditions Sciences et Culture.
ROY, Marie-Andrée(1996). Les ouvrières de l’Église. Montréal/Paris : Médiaspaul.
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