Les tête de violon se dressent dès le printemps. Riches en fer, elles symbolisent la vitalité des femmes.
Regroupées ici par trois dans un mouvement d’ouverture, elles manifestent le développement, la capacité d’adaptation au changement, la solidarité sans frontières dans la transformation des rapports femmes et hommes dans l’Église et dans la société.
Le Réseau des répondantes à la condition des femmes s’est réuni, les 27-28 mai derniers, pour réfléchir et continuer de s’outiller sur la question du leadership des femmes dans la Bible et dans l’Église. J’ai eu la chance, comme intervenante, de rencontrer ce groupe dynamique dont les membres continuent, dans leurs diocèses respectifs, de porter la question des femmes en Église. Ce groupe mérite notre appui, notre reconnaissance pour le travail accompli comme pour leur persévérance.
Pour mieux connaître le Réseau des répondantes à la condition des femmes, vous pouvez consulter ce texte d’Annine Parent : Création du Réseau des répondantes à la condition des femmes et sa mise en place à Québec de 1981 à 1986
Asbestos, le 8 juin 2015
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Hommage certes à leur persévérance, endurance et longévité à l’image du bonsaî!